Archive numérique de la collection Gaignières (1642-1715)

Texte

[Lettre de la marquise d'Uxelles à Gaignières, "jeudi soir", sans date]

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Cote ou no d'inventaire
Folio
540
Numéro de l'item (1711) incluant le texte
Texte identifié
[Lettre de la marquise d'Uxelles à Gaignières, "jeudi soir", sans date]
Nature(s) du texte
Lieu(x) et Période de production
1708 ±5
   
Destinataire du document (courrier)
Lieu(x) de réception
Matériau, Technique
Papier
Statut du document
Original
Période traitée
Source du document numérisé
Transcription
Jeudy au soir,
J’ay envoyé ce matin, Monsieur, à vostre palais. Comme on ne vous y a pas trouvé, on a laissé à une vénérable fille qui s’est dite vostre domestique mon livre et une missive de ma part, j’en suis en peine, et m’estant ressouvenue depuis le départ de mon messager que la lettre que vous m’avés promise y manque encore, j’ose vous suplier de l’adjouter au corps de la pièce. Enfin, il y a du dérèglement dans mon entestement, et comme dit la chançon, la blessure est au coeur, c’est un mal incurable.
La Marquise d’Huxelles

[Monsieur de Gaignières, vis-à-vis les Incurables à Paris]
Bibliographie
Edouard de Barthélémy, La marquise d'Huxelles et ses amis, Mme de Sévigné, Mme de Bernières, Mme de Louvois, le Mis de Coulanges, M. de Callières, M. de Gaignères, Fouquet, 1881, p. 288

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